Décès de Stéphane Cossais
C'est avec une très grande tristesse que j'apprends ce dimanche matin de juillet 2009 la disparition de Stéphane à l'âge de 42 ans des suites d'une rupture d'anévrisme.
Il est pour moi Le Vigneron du Renouveau des Montlouis de grande classe. Nous l'avions reçu l'hiver dernier dans le cadre du Club de Dégustation de Mouvaux pour une verticale merveilleuse.
Il nous avait beaucoup fait rire, il nous avait passionné par ses prises de risque et son désir de toujours faire mieux. Il était encore au début d'une aventure vigneronne qui aurait dû l'emmener loin, très loin vers les sommets.
J'ai le souvenir de son Volagré 2004, la première cuvée que j'ai dégusté de lui, un coup de poing. Puis, Le Volagré 2005, une claque d'intensité, de tension.
Nous attendions les 2007 avec impatience. Dégustés au domaine au printemps 2008, il m'avait semblé que Stéphane franchissait encore une nouvelle étape.
Ces derniers mois, il était d'un enthousiasme exceptionnel (comme d'habitude et même un peu plus) car il venait de décrocher une parcelle merveilleuse, des projets pour le futur.
Nous retiendrons de Stéphane l'éternel rieur, un garçon authentique et un puriste.
Petite anecdote : la première fois que je l'ai rencontré, c'était au salon Renaissance d'Angers et il faut avouer que les salons, il n'aimait pas trop ça. Donc, en général, il faisait la gueule. Et, je me suis dit, voilà un de ces vignerons grincheux.
Les rencontres suivantes m'ont prouvé le contraire.
Il nous manquera beaucoup.
Il est pour moi Le Vigneron du Renouveau des Montlouis de grande classe. Nous l'avions reçu l'hiver dernier dans le cadre du Club de Dégustation de Mouvaux pour une verticale merveilleuse.
Il nous avait beaucoup fait rire, il nous avait passionné par ses prises de risque et son désir de toujours faire mieux. Il était encore au début d'une aventure vigneronne qui aurait dû l'emmener loin, très loin vers les sommets.
J'ai le souvenir de son Volagré 2004, la première cuvée que j'ai dégusté de lui, un coup de poing. Puis, Le Volagré 2005, une claque d'intensité, de tension.
Nous attendions les 2007 avec impatience. Dégustés au domaine au printemps 2008, il m'avait semblé que Stéphane franchissait encore une nouvelle étape.
Ces derniers mois, il était d'un enthousiasme exceptionnel (comme d'habitude et même un peu plus) car il venait de décrocher une parcelle merveilleuse, des projets pour le futur.
Nous retiendrons de Stéphane l'éternel rieur, un garçon authentique et un puriste.
Petite anecdote : la première fois que je l'ai rencontré, c'était au salon Renaissance d'Angers et il faut avouer que les salons, il n'aimait pas trop ça. Donc, en général, il faisait la gueule. Et, je me suis dit, voilà un de ces vignerons grincheux.
Les rencontres suivantes m'ont prouvé le contraire.
Il nous manquera beaucoup.
Toutes mes pensées vont à Stéphane, sa famille et ses amis.
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